Highland Games : un homme-tronc à l'office de Tourisme...
Chronique 987: Même s'ils sont implicitement associés sur la photo géante de l'homme-tronc qui meuble joliment l'Office de Tourisme sur fond d'église de Bressuire, il ne faut surtout pas mélanger les retourneurs de troncs à l'affiche et les pilleurs de troncs dont le business ne flambe plus guère...
Il faut dire que ces derniers temps Notre-Dame a pris feu et que les églises ne jouent plus à guichets fermés!
Droits comme des "i".
Allier Highland Games et église Notre-Dame n'allait quand même pas déranger votre blogueur.
Bien au contraire! Il fait sonner les cloches à toute volée.
C'est très logique après tout...
Le parallélisme entre le tronc fièrement porté par Scott RIDER et le clocher fièrement dressé dans le prolongement du caber est incontestable.
Ils sont tous les deux droits comme des "i".
La grand messe en kilt
Les Highland Games, d'autre part, sont un peu devenus la grand messe des sports de force à Bressuire et les fidèles se rendront cette année encore en grand nombre au château pour le pélerinage tant attendu des lancers en kilt.
La date est déjà bien notée sur les agendas: les samedi 15 et dimanche 16 juin.
Il est vrai que le public a rendez-vous avec les grands prêtres de la discipline et les jeunes amateurs à l'aube d'une grande carrière...
Il faut dire aussi que les Highland Games quasi millénaires en Ecosse et l'église Notre Dame du haut de de son histoire multi-séculaire sont des institutions qui inspirent le respect depuis des lustres et des lustres, des cierges et des cierges!
Même si aujourd'hui l'harmonium doit s'effacer devant les cornemuses!
Un petit goût de retournez-y
Afficher en grand les Highland Games à l'Office de Tourisme illustre bien le fait que les Jeux écossais, comme l'église Notre-Dame, attirent les visiteurs et font de Bressuire une ville touristique à de nombreux égards.
Alors si les Highland Games peuvent dire merci à l'Office de Tourisme, l'office de Tourisme peut, lui aussi, dire un grand merci aux Highland Games.
Ils donnent aux visiteurs de telles sensations qu'ils ont envie, comme le tronc, qu'on les retourne et qu'on leur laisse, comme on dit chez nous, un petit goût de retournez-y.
Bédame oui!
Il n'y a pas que chez Ducroc qu'on se décarcasse...
Aux Highland Games de Bressuire aussi on se casse vraiment le tronc!
Alain CADU